Raphaël Pricert
Raphaël Pricert, ambassadeur de la peinture française
1949-1962
(suite)
1955. Il retourne aux Etats-Unis en mars et expose en avril à San Francisco, à la Maxwell Gallery, où il présente des toiles peintes dans le midi de la France et en Suède. Il est interviewé par une célèbre présentatrice de télévision (Channel four).
Il profite de son séjour pour peindre cette ville (vue de San-Francisco) et les personnages pittoresques qu'il y découvre. On lui commande des portraits. Celui qu'il fait alors du champion du monde de boxe, Rocky Macciano lui vaut de nombreux articles.
De mai à Juillet, il expose tout d'abord à Boston, aux G. Castiano Galleries, puis aux Johnson Galleries à Chicago.
1956. Raphaël Pricert, expose en mars à Vallins Konsthall, en Suède, à Orëbro. Il aime ce pays et ses habitants dont il a rapidement appris la langue. Il enchaîne sur une nouvelle exposition à Stockholm, au Strandwagen.
De mai à juillet, le voici à Londres, à la Walkers Gallery (la Galerie de Whistler) ; il y expose des paysages de Paris, d’Italie et de Suède (huiles et aquarelles) ; la Banque d’Angleterre l’honore d’un achat.
Puis il se rend en Israël peu avant la guerre des Six Jours qui l'oblige à prolonger son séjour. Il y peint de nombreuses toile et aquarelles, de Safed au lac Tibériade, de Saint-Jean d’Acre aux villages Yéménites.
A son retour, ces peintures sont exposées à Paris par les soins du Comité France-Israël et rencontrent un franc succès. L’ambassade d’Israël y a fait, notamment, une importante acquisition.
1957. Raphaël Pricert expose à Chicago de mai à juillet.
