Raphaël  Pricert

Raphaël Pricert, ambassadeur de la peinture française
1949-1962

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1953. Raphaël Pricert retourne donc aux Etats-Unis en mars pour exposer à la Galerie Frank J. Oelschlaeger.

La veille du vernissage, il écrit à sa femme, restée à Paris qu'il a déjà reçu des commandes et que l'exposition s'annonce bien. Il a accroché une quarantaine de toiles de France, d'Italie et d'Espagne ainsi que quelques aquarelles. C'est pour lui un succès immédiat. Son catalogue se couvre de "vendu". Le Chicago Daily Tribune consacre trois articles à Raphaël Pricert. On l'interview à la télévision.

A son retour en Europe, il sillonne de nouveau la Côte d'Azur et l'Italie: Verone, Sienne, Venise, etc... comme il le fait presque chaque année. Car Venise le fascine. En 1959, il dira à une journaliste de l'AFP qui l'interrogeait à ce propos qu'il y a séjourné 17 fois.

1954.Il fait une nouvelle tournée au Etats-Unis.

En février, il expose à Saint-Louis (Missouri), à la Noonan-Kocian Gallery; le club sportif Missouri Athletic acquiert une de ses grandes toiles de Montmartre.

En mars, il retourne à Chicago, et expose à la Galerie Frank J. Oelschlaeger avec le même succès que l'année précédente. L'homme d'affaire, David Freeman qui deviendra un de ses grands amis se porte acquéreur d'une très grande toile de Venise, la Place Saint-Marc.

En avril-mai, il est à Los Angeles, Galerie Francis Lynch, il montre à côté de paysages et de compositions une importante série de portraits de vedettes d’Hollywood, de Terry Moore à Gaby Bruyère.

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