Raphaël  Pricert
caricature de Rabier 1948
  

La guerre et ses suites
1939 - 1948

(suite)

1946. Raphaël Pricert reparaît au salon des Tuileries de 1946 avec deux de ses œuvres auvergnates, le Clochard auvergnat et le Vieux Salers, puis présente à l'Hotel de Bordeaux d'Aurillac, du 17 au 30 décembre 1946, 52 oeuvres. 

Cette dernière exposition fait l'objet de nombreux articles dans la presse cantalienne, notamment La Montagne, Le Cantal Libre et  le Cantal indépendant.

Ce succès décide Raphaël Pricert à se consacrer en totalité à la création artistique. Il cesse, à partir de cette époque de faire des travaux pour l’agence de Monsieur Faivret.

1947. Raphaël Pricert retournera encore à plusieurs reprises en Auvergne et exposera encore ses œuvres auvergnates jusqu’en 1950:
- à la Galerie de la Cité en mai 1947,
- à la Galerie Cambacérès en décembre 1948 et janvier 1949
- à la chambre de commerce d’Aurillac en février 1949,
- au 3ème salon des beaux arts et lettres du Massif Central, au Faubourg Saint Honoré à Paris du 25 février au 15 mars 1950.
- une nouvelle fois à l'Hotel de Bordeaux d'Aurillac, du 22 décembre 1950 au 2 janvier 1951, sous le haut patronnage du Comité National des Intellectuels, Section Cantal, Exposition élogieusement préfacée par Raymond Cortat

Mais dès 47 il recherche de nouvelles inspirations. En Belgique, à l’occasion d’une exposition collective, sur la côte d’azur et en corse de nouveau chaque été, en Italie, à Venise, Florence et Rome où il retourne très souvent à partir de 1948, et toujours, bien sûr, à Paris.

Fin 1947, du 16 décembre 1947 au 3 janvier 1948, il consacre son exposition  à la Galerie Cambacérès, rue La Boétie à Paris, à des peinture de Bruges et de Corse à côté des oeuvres d'Avergne.

Il ouvre souvent son atelier pour présenter ses œuvres.

En 1948, son cousin Irving, perdu de vue depuis la fin de la première guerre mondiale et installé à New York, le met en contact avec une galerie de New York, l’Associated American Artists .

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