Raphaël Pricert les appelait les Balladins. Pierrots lunaires et Colombines et les musiciens des rues. Il les découvrait partout. En italie, bien sur, mais aussi dans les caves et à San Francisco.
Lorsqu'il en rencontrait, il sortait son carnet et ses couleurs et prenait des notes.
Il riait de leur gaité et traduisait la tristesse
qu'il percevait dans leurs yeux.
Voici une petite galerie d'oeuvres et d'études sur ce thème:
(Pour visualiser une oeuvre, cliquez sur la vignette correspondante)